Voir le sommaire :
Le rachat de crédit est une opération bancaire permettant d’augmenter le pouvoir d’achat d’un emprunteur endetté.
Afin de trouver le bon courtier de banque, ne pas se tromper dans son choix, il est nécessaire de faire appel à un bon comparateur des offres de rachat de crédit! Plusieurs devis et plusieurs conseillé vous ferons des propositions, vous pourrez alors choisir la meilleur d’entre elle ici!!
vous pouvez vous aussi déterminer l’économie que vous pouvez réaliser par un rachat de vos crédits en utilisant le comparateur et simulateur de rachat crédit gratuitement en ligne sur ce lien ici.
Les français gèrent bien leur endettement.
Le taux de détention de crédit des ménages français – dont le nombre dépasse les 27 millions – est inférieur à 50%.
Plus de la moitié d’entre eux considèrent le poids de leurs charges de remboursement comme supportable ou très supportables. Les ménages en situation de surendettement représentent moins de 3% de l’ensemble.
Il est communément admis que la capacité d’endettement – on devrait plutôt dire de remboursement – d’un ménage se situe aux alentours du tiers de ses revenus mensuels disponibles.
En vérité, cette notion est toute relative. Le » taux d’effort « , c’est-à-dire la charge mensuelle, est d’autant plus important que les revenus sont faibles. Ce n’est pas la même chose de consacrer au remboursement de ses crédits la moitié d’un salaire de 1200 € ou d’un salaire de 4000 €. C’est pourquoi la notion de » reste à vivre » est plus juste.
Sa détermination est fonction de la composition du ménage. Il est logique que, plus il y a d’enfants à charge, plus le reste à vivre doit être élevé. Il est en effet essentiel qu’une fois les mensualités de prêt payées, il reste au ménage de quoi faire face non seulement à ses besoins fondamentaux et à ses dépenses contraintes, mais également à d’autres qui, même exposées raisonnablement et occasionnellement, contribuent au confort et à la qualité de vie de ses membres. Les mensualités de crédits ne doivent pas amputer trop le pouvoir d’achat du ménage.
C’est la raison pour laquelle l’immense majorité des français respecte ces règles de bon sens.
Raisonnables, ils renoncent souvent à des projets qui leur tiennent pourtant à coeur
Toutefois, il peut être frustrant de devoir renoncer à un projet qui vous tient vraiment à coeur et qui n’est ni fantaisiste ni déraisonnable pour » rester » dans les clous « .
Par exemple : vous avez acheté votre maison il y maintenant plus de dix ans, juste après la naissance du petit dernier. Aujourd’hui vos enfants sont presqu’adolescents. Vous aimeriez bien qu’ils restent à la maison plutôt que de courir avec des copains, quitte à amener ces derniers chez vous. L’idéal, pour ça serait d’installer une piscine où tout le monde se baignerait durant la belle saison.
Ça attire les jeunes ! Une piscine traditionnelle, vous dîtes-vous, ce n’est même pas une dépense » mais plutôt un investissement.
En effet, elle valorisera financièrement votre maison d’un montant généralement égal à son coût que vous récupérerez donc en cas de revente si besoin est, laquelle, qui plus est, sera favorisée par cet équipement recherché. Et puis, il n’y a pas que financièrement que cette piscine valorisera votre maison. Elle embellira carrément le décor !
Mais voilà, il reste encore quelques (trop) longues années de prêt immobilier à payer. La mensualité de ce dernier ajoutée à celle du crédit voiture absorbe un bon tiers des revenus.
Prendre un nouveau crédit pour financer la piscine créerait une situation de mal-endettement obligeant la famille à réduire son train de vie. Pas question de rigueur, voire de risque de surendettement.
Il existe une solution qui permet de concilier raison et plaisir : le rachat de crédit travaux
Dans cet exemple, le ménage se voit contraint de renoncer à s’équiper d’une piscine car il ne veut pas augmenter son taux d’effort au détriment de son pouvoir d’achat.
Le rachat de crédits immobilier permet de résoudre cette problématique.
En » rachetant » ses crédits en cours, c’est-à-dire en remboursant par anticipation son prêt immobilier et le crédit voiture au moyen d’un nouveau prêt dit de restructuration -dans le montant duquel on inclura le montant nécessaire pour la réalisation de la piscine- dont la durée d’amortissement sera allongée de telle sorte que la mensualité soit peu ou prou identique à la charge de remboursement des crédits antérieurs, on financera la piscine sans faire déborder le budget. Ainsi, grâce au rachat de crédit immobilier, ce ménage pourra plonger sans que ses finances prennent l’eau !
Ce qui est vrai pour une piscine, l’est tout autant pour d’autres » gros » travaux : une véranda, l’aménagement de combles ou la création de pièces supplémentaires, l’installation de panneaux photovoltaïques, de chauffage économe en énergie ou utilisant des énergies renouvelables, etc.
Ce type de refinancement est aussi appelé » rachat de crédit travaux « .
Les formules de restructuration proposées
Bien évidemment ces formules de refinancement sont réservées aux propriétaires et aux accédants à la propriété.
En effet, un propriétaire qui n’a pas ou plus de prêt immobilier mais seulement des crédits à la consommation ou des prêts personnels, est parfaitement éligible à ces formules.
On retrouve les catégories de prêt de restructuration avec garantie financière, compte tenu des montants, habituellement conçues pour ces derniers :
- le rachat de prêt hypothécaire
- le rachat de crédit cautionné
Pour des travaux de petits montants et en présence d’encours de crédit faible, le rachat de crédit consommation, on devrait plutôt dire » sans garantie financière « , est envisageable.
Il est bon de rappeler que, du point de vue du Code de la consommation, la distinction entre le regroupement de crédit immobilier et le rachat de crédits consommation, tient uniquement au pourcentage de crédit immobilier consolidé par rapport au montant total du prêt de restructuration :
- en dessous de 60%, il est soumis aux règles encadrant le crédit à la consommation
- à partir de 60%, il est soumis à celles du crédit immobilier.
Rédacteur en chef et informaticien de métier, je m’intéresse plus généralement aux produits de grande consommation et tout ce qui touche au pouvoir d’achat et au business