Assurance vie : des rendements supérieurs à 3%

Dans la société actuelle où l’impôt parait très élevé pour les contribuables, ces-derniers ont tendance à rechercher des moyens de défiscalisation. Ces moyens permettent, par la loi qui les encadre, de diminuer l’impôt ou d’avoir des taux plus bas que ceux appliqués sans utilisation de ces outils. Il existe divers produits mis à disposition des contribuables afin de réduire l’impôt dont l’un des plus plébiscités est l’assurance-vie.

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Dans le contexte actuel d’après crise caractérisé par un taux d’inflation quasiment nul et des taux d’intérêts au plus bas, les moyens d’épargne auparavant utilisés le sont de moins en moins. Les produits tels que le livret A ou le livret de développement durable ont des taux proches de 0% et deviennent défavorables aux épargnants.

D’où le regain des contribuables vers l’assurance-vie. L’assurance-vie est un contrat signé par le souscripteur et l’assureur qui permet au souscripteur de payer des primes afin de se constituer un patrimoine futur percevable sous forme de capital ou de rente. Elle se décline généralement en trois variantes : l’assurance en cas de décès qui prend effet lors du décès du contractant, l’assurance en cas de vie qui prend effet si le contractant est toujours en vie à la fin du contrat et l’assurance vie et décès qui est un mixte des deux.

Ses avantages sont principalement au niveau fiscal. En effet, le capital versé en cas de décès n’est pas pris en compte dans le calcul des droits succession. Il n’est dès lors pas soumis au taux d’imposition des successions. De plus, des taux préférentiels et bas sont appliqués sur les montants pris avant huit ans ; après huit ans,…

Tous ces avantages fiscaux, ainsi que le regain vers ce type de produit rendent l’assurance-vie attrayante et lui permettent d’atteindre, malgré les conditions économiques actuelles, des rendements supérieurs à 3%. Elle permet ainsi de pouvoir s’assurer des revenus à l’âge de la retraite, pouvoir constituer un capital nécessaire pour un investissement, ou encore prévoir un capital pour ses successeurs sans passer par un acte de succession.