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L’âge de départ à la retraite divise plus que jamais car depuis l’instauration de la réforme de septembre 2023, imposant un départ à 64 ans, la colère n’a cessé de croître dans l’opinion publique. Cette semaine, une proposition de loi visant à revenir à un âge légal de 62 ans est discutée à l’Assemblée nationale. Mais au-delà des débats politiques, qu’impliquerait concrètement cette abrogation pour les futurs retraités ? Une pension plus avantageuse ? Des conditions allégées ? Alors que le sujet concerne des millions d’actifs, voici les scénarios envisageables et leurs conséquences sur vos droits à la retraite.
Abrogation complète de la réforme de 2023 envisagée
En 2023, la nouvelle reforme des retraites augmentait l’âge de départ à 64 ans. La proposition de loi déposée par la Nupes et soutenue par d’autres partis d’opposition vise à supprimer l’âge légal de 64 ans mais pas que.
Elle propose également de ramener la durée de cotisation nécessaire pour un taux plein de 43 années (172 trimestres) à 42 années (168 trimestres). Si elle était adoptée, ces changements entreraient en vigueur en août 2025.
Le texte inclut aussi une clause de sauvegarde permettant aux retraités ayant pris leur retraite entre septembre 2023 et août 2025 de demander un réexamen de leur pension.
Cela pourrait notamment éliminer certaines décotes ou permettre des surcotes. Ces ajustements viseraient à rétablir une équité pour ceux ayant subi les impacts de la réforme précédente.
Revendications au cœur du débat
La suppression de l’âge légal de 64 ans reste la principale revendication portée par les syndicats et une partie des partis politiques.
Un compromis sur la durée de cotisation s’annonce plus complexe, notamment en raison de son impact sur l’équilibre financier du système.
Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, insiste sur l’importance d’un dialogue équilibré, mettant en garde contre des modifications trop brutales qui pourraient déséquilibrer les projections actuarielles du régime des retraites.
Entre préoccupations budgétaires et attentes sociales, le défi est de taille pour les parlementaires.
Départ à 62 ans, mais à quel prix ?
Dans le scénario où l’âge légal de départ est ramené à 62 ans, de nombreux assurés pourraient envisager une retraite anticipée.
Cependant, cela n’assurerait pas automatiquement une pension sans décote. Le taux plein reste conditionné à une durée de cotisation précise, comme l’indique le tableau suivant :
Année de naissance | Trimestres nécessaires (réforme actuelle) | Durée de cotisation |
---|---|---|
Avant 1961 | 168 | 42 ans |
1961 (septembre à décembre) | 169 | 42 ans et 3 mois |
1962 | 169 | 42 ans et 3 mois |
1963 | 170 | 42 ans et 6 mois |
1964 | 171 | 42 ans et 9 mois |
1965 et après | 172 | 43 ans |
Un départ anticipé entraînerait des pénalités si tous les trimestres requis ne sont pas validés. À noter que le taux plein automatique reste appliqué à 67 ans, quelle que soit la durée de cotisation validée.
Estimer votre départ à taux plein
Pour évaluer vos droits, un outil fiable est disponible : le simulateur officiel sur Info-Retraite.fr. Accessible via FranceConnect, il fournit une vision précise de vos perspectives. Trois projections principales y sont proposées :
- Une estimation pour un départ à 64 ans
- Le montant de votre pension à l’âge correspondant à votre taux plein
- Une simulation pour un départ à 67 ans, avec application du taux plein automatique
Ces calculs permettent de mieux comprendre les enjeux financiers d’un départ anticipé ou différé, en tenant compte des règles spécifiques à votre situation. Pour les assurés n’ayant pas encore activé leur compte, cette démarche est indispensable pour planifier leur avenir.
Quand j’ai intégré ce média, je publiais sur des sujets principalement liés à la grande distribution, aux Soldes ou encore aux Black-Friday. Désormais je rédige des actualités en lien avec les aides de l’état, l’energie, les allocations etc.
Votre pays , la FRANCE , n’est qu’un FOUTOIR , une MER * DE ! ! !
Je suis belge. J’ai 66 ans. J’ai créé deux sociétés en FRANCE , sociétés dans lesquelles j’ai employé jusqu’à 40 personnes.
J’étais gérant salarié de mes deux sociétés.
Mes deux sociétés ont cotisé pour moi , retraite CNAV et retraite AGIRC-ARRCO.
J’ai également cotisé à ces deux caisses de retraite.
En Belgique , un mois avant que je n’atteigne 65 ans , j’ai eu un décompte HYPER–DÉTAILLÉ , me disant combien j’allais toucher dès le jour de mes 65 ans , comment , et pourquoi.
RIEN À DIRE : ça reprenait TOUTES MES COTISATIONS , Y compris 1 mois où , à 16 ans , j’ai travaillé comme étudiant pendant les vacances ! ! !
TOUT ÉTAIT PARFAIT ! ! !
NICKEL , RIEN À REDIRE… ! ! !
Pour ce qui est de votre pays , la france sans majuscule , C’EST LE BORDEL… ! ! !
La retraite à 62 ans ? ? ?
MON C-U-L , oui ! ! !
Déjà que , aussi bien la CNAV que AGIRC-ARRCO ont mis 4 ans ( QUATRE ANS ! ! ! ) à me répondre et à « »reconstituer ma carrière » » , en plus , si la CNAV a fini par me payer ce dont j’avais droit , la…. « » »Retraite complémentaire » » » , elle , ça fait 4 ans que « »le service gestion calcule » » » ! ! !
EN PLUS , il y a des minorations de m er d e , alors que l’âge de départ à la retraite était de 62 ans quand je l’ai demandée…. ! ! ! ( Et , quand je l’ai demandée , j’avais 63 ans ! ! ! )
VOTRE SERVICE DE RETRAITE EST UNE VÉRITABLE MERDE ! ! !
C’est UNE ESCROQUERIE ! ! !
Compte tenu de ce que je touche de la CNAV , il faudrait que je vive jusqu’à 196 ANS pour , simplement , RÉCUPÉRER MES COTISATIONS ! ! !
OÙ EST L’ARGENT ? ? ?
OÙ SONT PASSÉES TOUTES LES SOMMES COTISÉES ? ? ?
Vos systèmes de retraite , ce n’est que du VOL , de L’ESCROQUERIE ! ! !
VOTRE PAYS EST SOUS-DÉVELOPPÉ , et , pour SURVIVRE , IL VOLE L’ARGENT DES COTISATIONS ! ! !
VOTRE PAYS EST UNE MERDE ! ! !
Je REGRETTE , VRAIMENT , D’Y AVOIR CRÉÉ PLUS DE 40 EMPLOIS ! ! !
SÂLES CONS ! ! !